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Les Local Inventory Ads sont maintenant disponibles en Belgique

Dans un monde où la crise du Covid a radicalement changé le comportement des consommateurs, il est essentiel pour les annonceurs d'adapter leurs stratégies aux frontières floues entre le commerce en ligne et le commerce en magasin. Alors que les consommateurs passent de plus en plus par des points de contact online au cours de leur parcours d'achat, ils sont également devenus plus exigeants quant à l'exactitude des informations qu'ils trouvent en ligne.

Une solution pour améliorer votre stratégie publicitaire dans cet environnement consiste à utiliser les Local Inventory Ads, un format proposé par Google. Cette fonctionnalité, disponible dans certains pays depuis quelques années, est depuis peu disponible en Belgique. C'est pourquoi nous vous conseillons de l'activer, si cela est pertinent pour votre business. Il permet de promouvoir vos produits auprès des utilisateurs pertinents en fonction de leurs recherches Google et de leur proximité avec vos magasins en leur fournissant des informations utiles, notamment sur les stocks.

Que sont les Local Inventory Ads ?

Les Local Inventory Ads sont une fonctionnalité de Google qui vous permet de présenter vos informations de produits et de stocks auprès des acheteurs à proximité qui recherchent ce que vous avez à offrir. Cela peut vous aider à atteindre des clients potentiels qui recherchent des produits similaires à ceux que vous avez en stock et leur fournir les informations dont ils ont besoin pour trouver votre magasin et effectuer un achat.

En termes de format, les Local Inventory Ads ressemblent en fait à des annonces shopping et apparaissent tout en haut des résultats search avec l'image et le prix de votre produit. Elles sont basés sur un flux de produits et sont donc pertinents uniquement pour les e-commerce qui ont des magasins physiques où les clients peuvent se rendre pour acheter.

Lorsqu'il y a un clic sur une Local Inventory Ad, les consommateurs se rendent dans votre magasin local. Votre vitrine locale peut être soit une page hébergée par Google, soit une page de destination sur votre site Web, si elle répond à des exigences spécifiques. Dans la mise en place, vous devrez donc décider quelle vitrine est la plus pertinente dans votre stratégie.

Voici les informations auxquelles les consommateurs auront accès sur votre vitrine locale :

  • Stocks
  • Adresse
  • Horaires d'ouvertures
  • Numéro de téléphone
  • Site Internet

Et si un consommateur atterrit sur la page produit de votre site Web, il peut immédiatement effectuer l'achat en ligne.

Les avantages de l'utilisation des Local Inventory Ads (LIA)

  • Connecter vos magasins physiques à votre stratégie en ligne : plus de 80 % des acheteurs recherchent d'abord des produits en ligne. L'utilisation de LIA peut donc vous aider à atteindre des clients potentiels qui recherchent ce que vous avez à offrir.
  • Renforcer la notoriété de votre marque : les annonces Shopping locales vous permettent de présenter vos produits tout en haut des résultats search, ce qui peut aider davantage de consommateurs à découvrir votre entreprise et à accroître la notoriété.
  • Augmenter vos ventes : étant donné que ces publicités renforcent la notoriété de votre marque, vous pouvez toucher davantage de clients potentiels en ligne et générer davantage de ventes et de revenus pour votre entreprise.
  • Générer plus de trafic vers vos magasins : les LIA peuvent également vous aider à générer plus de trafic vers vos magasins en affichant l'adresse et les heures d'ouverture.
  • Suivi des résultats: vous pouvez facilement suivre les performances de votre campagne publicitaire et voir l'impact de vos publicités digitales sur vos ventes en magasin. Cela peut vous aider à optimiser votre stratégie et à améliorer vos résultats sur le long-terme.

Conclusion

Les Local Inventory Ads de Google sont un excellent moyen de toucher votre audience locale lorsqu'elle est prête à effectuer un achat. Cela peut aider votre entreprise à générer plus de ventes et de revenus en faisant savoir aux clients potentiels que votre magasin propose les produits dont ils ont besoin à proximité.

Nous recommandons fortement de mettre en place les Local Inventory Ads à nos clients belges pour qui cela est pertinent car c’est un complément précieux à leur stratégie digitale.

{snippet olivialohest-fr}

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À quoi ressemble le rôle de Happiness Manager chez Semetis ?

Je m'appelle Alisson et je suis Happiness Manager chez Semetis. 

Attendez. Qu'est-ce que c'est, déjà ? 

 

Il n'y a pas de véritable définition du "Happiness Manager" car il s'agit d'un rôle dynamique et évolutif qui suit la culture de l'entreprise et les besoins du business

Chez Semetis, ma fonction s'articule autour de 4 piliers : 

  • Les ressources humaines,
  • Prévention, Sécurité et Bien-être au travail,
  • Les événements,
  • Office Management.

 

Je travaille en duo avec Louise, notre Office Manager. Elle est notre star lorsqu'il s'agit d'événements et de gestion de bureau, tandis que je me concentre sur les ressources humaines et le bien-être au travail. 

En tant que Happiness Manager, je vis les valeurs de Semetis et les transmets aux nouveaux arrivants.

Je suis la personne de contact pour toutes les demandes liées aux Ressources Humaines et je suis responsable de la Prévention, de la Sécurité et du Bien-être au travail. En d'autres termes, j'apporte un soutien quotidien aux RH, j'aide la direction à définir l'avenir des ressources humaines de Semetis, je m'assure que le bureau est un lieu sûr, je maintiens un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée et, bien sûr, je montre l'exemple. 

Ce qui est extrêmement important pour moi, c'est d'être aussi proche que possible des Semetissiens afin de comprendre leurs besoins et, par conséquent, de prendre les mesures appropriées. Il peut s'agir d'actions très simples comme l'installation de distributeurs de noix dans le bureau pour stimuler sainement nos cerveaux, mais aussi la mise en place du concept de "télétravail à l'étranger", par exemple.

Une culture forte

Chez Semetis, nous pensons que passer du temps ensemble est crucial pour engager nos employés et construire une culture forte. C'est pourquoi nous avons créé notre propre "équipe d'événements" et notre "équipe d'impact" dont j’ai été la lead pendant un bon moment. Ces équipes réfléchissent constamment à la manière dont nous pouvons rassembler les gens, en organisant des activités sportives ou marquantes, des compétitions d'équipe, des anniversaires ou des promotions, etc.

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Si vous êtes curieux de savoir à quoi ressemble le travail dans une agence média, lisez cet article que Louise a écrit. 

 

Conclusion

Alors, d'après mon expérience, que faut-il pour devenir un Happiness Manager ? 

Il ne s'agit pas tant du diplôme que des compétences générales : savoir écouter, comprendre les gens et, surtout, être fédérateur. 

 

Si vous souhaitez discuter davantage du rôle de Happiness Manager, n'hésitez pas à me contacter sur LinkedIn ! Je serai heureux d'échanger des idées sur le sujet.

{snippet alissonnonclercq-fr}

Comment attirer l’attention avec des avertissements ?

10 conseils pour créer des annonces qui attirent l'attention de l'utilisateur

L'année dernière, de nombreuses études ont été réalisées par différentes parties. Nous souhaitons résumer ici quelques enseignements et meilleures pratiques pour concevoir une campagne qui attire et/ou retient l'attention de l'utilisateur.

Globalement, il existe 4 facteurs majeurs qui déterminent l'attention portée à une campagne.

  1. La qualité du média
  2. L'expérience de la publicité
  3. Pertinence
  4. La créativité

1. Le choix du canal média est le facteur le plus déterminant pour attirer l'attention des internautes. Les internautes consomment différents canaux médias de différentes manières. Par exemple, les utilisateurs de YouTube sont plus enclins à regarder des vidéos que les personnes qui font défiler leur flux sur les canaux de médias sociaux. Cela a également un impact sur l'attention que les utilisateurs portent aux publicités sur les canaux respectifs. Lumen a donc réalisé quelques études pour déterminer les secondes d'attention par canal médiatique (voir ci-dessous).

lumen

Source

2. Size does matter: la recherche de DPG montre que la taille des publicités est l'un des principaux facteurs d'attention. Les Takeovers ou les formats à impact total génèrent 4,5 fois plus d'attention que les formats de bannière standard. Après tout, ces publicités sont regardées plus souvent et plus longtemps. 

3. Un engagement plus élevé du contenu génère plus d'attention pour les publicités. Les internautes qui défilent plus lentement et restent plus longtemps sur les pages prêtent davantage attention aux publicités. Les publicités sont ainsi plus longtemps visibles, ce qui incite les internautes à les regarder plus longtemps. (DPG) C'est une bonne raison pour faire de la publicité sur les articles (d'actualité) plutôt que sur les pages d'accueil, où les gens défilent et cliquent très rapidement. Selon une étude Teads x Lumen, les publicités placées sur les articles d'actualité attirent 1,3 fois plus l'attention que les publicités sur la page d'accueil.

4. Moins d'annonces par écran pour plus d'attention

5. Dans le cas des publicités vidéo : Les annonces forcées prennent deux fois plus de temps pour obtenir le même effet que les annonces non forcées en 2s. (Teads) En d'autres termes, si les gens sont forcés de regarder une vidéo (publicités non skippables), ils regarderont la vidéo avec moins d'attention que s'ils font le choix de regarder la publicité.

6. Les publicités qui sont adaptées au contenu du site web (= ciblage contextuel) génèrent une durée d'attention plus élevée que les publicités non skippables. (Forbes)

7.Ce n'est pas seulement la taille de l'annonce qui compte, mais aussi le pourcentage de la bannière qui est affiché. Plus l'annonce est affichée, plus elle attire l'attention. Par exemple, si la moitié de la bannière reste sous le pli, avec des risques que le message et/ou les indices de la marque ne passent pas. (Karen Nelson Field)

8. Plus la publicité reste longtemps à l'écran, plus elle suscite l'attention. Cela n'est rentable que dans une certaine mesure - plus l'annonce est diffusée, plus son rendement diminue à partir d'une certaine durée. (Karen Nelson Field)

9. L'inattendu attire l'attention (Karen Nelson Field) Le fait de sortir de manière inattendue le message et/ou la création peut capter l'attention de l'internaute. Ceci est largement déterminé par les émotions suscitées par la publicité. Si ces émotions sont des émotions "à forte excitation", comme le décrit l'image ci-dessous, la probabilité d'attirer l'attention de l'utilisateur est plus élevée qu'avec des émotions à faible "excitation".

emotion construct

Source 

Notez toutefois que l'influence de l'émotion sur l'attention est beaucoup plus faible que celle du choix de la plate-forme. Plus précisément, à moitié plus bas.

10. L'attention peut varier énormément d'un créatif à l'autre. Nous savons que la création est responsable de 49 % de l'impact potentiel d'une campagne (Google). Il est donc utile d'optimiser au maximum la création pour attirer l'attention. Même les petites optimisations peuvent porter leurs fruits :

  • Légendes dans une vidéo
  • Ajouter des animations à une bannière
  • Rendre les bannières interactives
  • ...

Conclusion

L'attention semble ici être le saint Graal d'une campagne de sensibilisation réussie. Bien sûr, cela doit être pris avec un grain de sel. Après tout, toutes les publicités qui attirent l'attention ne débouchent pas sur une vente. D'une part, beaucoup de choses dépendent de l'intention d'achat de l'utilisateur. Mais surtout : beaucoup de publicités ne parviennent pas à créer des liens avec la marque. Prêter attention à une publicité ou se souvenir d'une marque n'est pas la même chose. Pour ce faire, il est essentiel d'utiliser correctement les éléments de l'image de marque, tels que les logos et les couleurs.

{snippet jannebeke-fr}

Google lance Consent Mode: Un aperçu complet de l'implémentation de base

RÉSUMÉ

Cet article traite des défis auxquels sont confrontés les annonceurs digitaux en matière de suivi et d'attribution, notamment depuis la législation GDPR. Il aborde également la solution de Google à ces défis, appelée Consent Mode, et le débat entourant son utilisation de pings sans cookies pour la modélisation. Il comparera également les implémentations complète et basique de Consent Mode ainsi que leurs avantages et inconvénients respectifs.

Introduction

Le suivi et l'attribution ont toujours été des sujets importants dans le secteur du marketing digital. En effet, ils sont au centre de ce que nous faisons : mesurer et évaluer le succès de notre communication digitale.
Ces deux concepts sont devenus de plus en plus difficiles au cours des dernières années, et cela ne va pas s'arrêter là.

Depuis l'apparition de la législation GDPR en Europe, les annonceurs doivent clairement expliquer à leurs utilisateurs ce qu'ils vont faire avec leurs données et si les utilisateurs acceptent cet usage.
En outre, s'ils ne donnent pas leur consentement, les annonceurs ne peuvent pas suivre le comportement de ces utilisateurs.
Par conséquent, de nombreux outils, qui sont largement utilisés dans le marketing digital, sont fortement impactés : Les outils d'analyse web (Google Analytics, Adobe Analytics, etc), les plateformes publicitaires (Google Ads, Meta ads, etc).
À terme, moins de données seront enregistrées par ces plateformes, ce qui aura un impact sur le reporting et l'optimisation. C'est là que cela devient frustrant : les données que nous collectons ne sont pas exactes à 100%.

Google a trouvé sa propre solution pour modéliser une partie des données manquantes en raison de l'absence de consentement des utilisateurs aux cookies :Consent Mode. Vous trouverez plus d'informations sur ce sujet très intéressant dans cet article.

Le débat

Même si cette fonctionnalité semble très prometteuse, il y a encore beaucoup de débats au sein de l'industrie concernant les “cookieless pings” qui sont utilisés pour la modélisation.

  • Est-il permis d'envoyer les données incluses dans ces “cookiesless pings” à Google?
  • Si les gens refusent les cookies, pourquoi enverrai-je quand même des données à Google ?

Mais qu'est-ce qu'un cookieless ping ? Il s'agit des informations qui sont tout de même envoyées à Google pour chaque utilisateur refusant les cookies. Elles ne contiennent que des informations fonctionnelles et non identifiantes. Selon Google, avec ces données, il n'y a aucun moyen pour Google de comprendre qui est l'utilisateur (= non-identifiant). Grâce à ces pings, et grâce aux données collectées auprès des utilisateurs acceptant les cookies, Google sera en mesure de modéliser le comportement de ces utilisateurs. Ces pings sont donc cruciaux pour le succès de la modélisation.

Même si Google affirme être conforme au GDPR, le géant américain a ressenti la pression de nombreux annonceurs soulevant des questions sur ce sujet sensible. C'est pourquoi il a créé une version basique de Consent Mode qui n'utilisera aucun ping de conversion pour sa modélisation. En effet, il n'utilisera que les données des utilisateurs qui ont donné leur consentement pour modéliser les conversions de ceux qui ne l'ont pas fait. En d'autres termes, aucune donnée de l'utilisateur lui-même ne sera utilisée pour modéliser son comportement.

Les 2 implementations différentes

Les illustrations ci-dessous expliquent les différences entre l'implémentation complète et l'implémentation de base.

  • Dans l'implémentation complète, la modélisation est basée sur les pings de conversion provenant des utilisateurs qui ont refusé les cookies (meilleure modélisation).
  • Dans l'implémentation de base, aucune donnée provenant des utilisateurs ayant refusé les cookies ne sera utilisée. La modélisation sera uniquement basée sur une extrapolation du comportement de ceux qui ont accepté les cookies (données moins modélisées).
Implémentation complète:

La mise en œuvre complète du mode de consentement et la façon dont sa modélisation fonctionne

Implementation de base:

La mise en œuvre de base du mode de consentement et le fonctionnement de sa modélisation

Les avantages de l’implémentation de base sont clairs : aucune donnée sur les personnes refusant les cookies n'est envoyée à Google, mais nous pouvons toujours modéliser certaines des conversions que nous avons perdues.

Cela semble être la solution idéale, non ? Pourquoi ne devrions-nous pas l'utiliser au lieu de la version standard du mode de consentement ?

Parce qu'elle présente certains inconvénients :

  • Google prend un filet de sécurité beaucoup plus grand avec l'implémentation de base. En d'autres termes, vous remonterez moins de données, ce qui vous éloignera davantage de la "réalité". Cette perte de données aura un impact sur l'optimisation et le reporting.
  • Par ailleurs, l'implémentation de base ne modélise que les conversions dans Google Ads, rien ne sera modélisé dans GA4 pour le moment.

Néanmoins, cette solution est bien meilleure que la situation où on ignore le comportement et donc les conversions des personnes refusant les cookies.

Conclusion

Google a développé une version de base de Consent Mode qui vous permet d'éviter d'envoyer des informations au géant américain. Cette solution est un excellent moyen de commencer à modéliser les conversions et constitue un premier pas vers une configuration modélisée complète. En outre, elle ne donnera lieu à aucun débat sur le GDPR ou sur le plan juridique, car rien ne sera utilisé concernant le refus des cookies par les utilisateurs.
Néanmoins, n'oublions pas que cela n'est pas disponible pour la modélisation GA4 et que vous modéliserez moins de conversions qu'avec la mise en œuvre complète.

Ce sujet vous intéresse et vous voulez en savoir plus ? N'hésitez pas à contacter Semetis pour en discuter.

{snippet sebastiaanreeskamp-fr}

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